Punition douloureuse

Catégories : Femmes fessées
il y a 8 ans

Une nouvelle fois, je relevais la tête pour lire l'heure sur la pendule. Cela faisait maintenant 10 minutes que j'étais là. Ma position devenait inconfortable, j'avais mal aux genoux, mal aux bras. Et aussi un peu au dos. Rien de très douloureux, mais suffisamment inconfortable pour avoir envie de changer de position. Mais je ne pouvais pas bouger, enfin je ne devais pas. Je suivais à la lettre les 2 lignes du mail que j'avais reçu le matin même. "A 15h00, tu seras à 4 pattes sur la table basse du salon, les fesses nues, ton comportement d'hier soir ne m'en laisse pas le choix, je dois te punir pour que tu comprennes".

Le message était court, direct. Ni bonjour, ni au revoir. Juste des instructions à suivre à la lettre. Il faut dire que j'étais en faute : je m'étais comportée n'importe comment lors d'une soirée organisée par son entreprise. Je m'étais laissée emporter. Emporter par la boisson, par cet homme qui me draguait ouvertement et avec qui je flirtais sans retenue. Il faut dire que je n'avais pas à rester seule à une soirée organisée par l'entreprise de mon Chéri. Il était resté bloqué plus longtemps que prévu en province, alors qu'il devait être là pour 19h il est arrivé à 21h30. Alors f o r c é ment je me suis occupée, le verre à la main que quelques personnes "bien intentionnées" se sont chargées de ne jamais laisser vide. Au bout d'une bonne heure, je voyais des étoiles partout, alors f o r c é ment ce dragueur que j'aurai rembarré dans d'autres circonstances, je l'ai laissé faire ce soir là. J'avais un peu oublié Frédéric pour être honnête. Je me laissais peloter sans difficultés, j'ai même embrassé cet homme.

C'est à ce moment là que Frédéric est arrivé. J'ai cru mourir, car bien sûr, à ce moment, j'ai retrouvé de la lucidité. J'ai compris la situation, le regard noir qui disait tout. Si nous n'avions pas été au milieu de tout ses collègues, j'aurai pris une fessée au milieu de la salle. On est parti pas longtemps après l'incident. Dans la voiture, silence absolu, on n'entendait que le moteur, Frédéric n'a rien dit pendant tout le trajet. On est rentré vite, très vite même. Tellement que je n'étais plus très bien en descendant de voiture. Malade à cause de l'alcool et de la voiture. La soirée était "parfaite". Frédéric n'a rien dit du reste de la soirée. Nous nous sommes couchés vite, chacun à un bout du lit. J'ai essayé de m'expliquer, de m'excuser mais il se contentait de me répondre avec son silence. Je me suis endormie vite. Lorsque je me suis réveillée, j'étais déjà seule.

J'ai allumé l'ordinateur pour lire les mails : il m'avait déjà écrit et me donnait RDV à 15h.

15h15, j'ai de plus en plus mal aux genoux. Je commence même à avoir froid. Il faut dire que ne porte pas grand chose : je l'ai joué coquine parce que Frédéric adore ça. Bottes en cuir, bas, porte-jarretelle. J'ai les fesses à l'air, comme demandé, et je suis dans une tenue idéale pour que l'on se réconcilie. Soudain le bruit de la clé dans la serrure, mon cœur s'emballe. Il rentre dans l'appartement et se contente de dire ne bouge pas. J'ai le cœur qui cogne à tout rompre, je suis confuse, mélangée entre la peur et l'excitation. Pour la première fois, ce sera une vraie punition, pas un jeu. Pour une bêtise bien réelle. Il entre enfin dans la pièce, prend bien garde de rester en dehors de mon champs de vision. Je le sens satisfait, content que j'ai obéi.

Soudain une décharge électrique me parcourt le corps. Je sens un petit morceau de cuir passer de ma nuque jusqu'à mes fesses. Je sais ce que c'est : c'est le bout d'une cravache. Il faut dire qu'il me l'a souvent promis, pendant l'amour, pendant la fessée. Je commence à avoir sérieusement peur, je sais que ça va être dur. Je me sens obligée de lui demander pardon, de m'excuser. Il me lance un chut qui me fait taire immédiatement. La cravache continue de se promener sur moi, j'appréhende le moment où elle va cesser de me caresser. Pour l'instant je suis au comble de l'excitation. Je suis trempée, j'ai envie de lui, je voudrai qu'il me prenne tout de suite comme ça. Mais non je dois passer par la case punition d'abord.

Le bruit m'a sortie de la douce torpeur dans laquelle je m'installais lentement. Le bruit du cuir claquant la peau de mes fesses. Ensuite la chaleur et puis la douleur me l'ont confirmée. J'ai ainsi reçu une trentaine de coups de cravache, alternant entre la fesse gauche et la fesse droite. Et puis à nouveau la cravache qui me caresse lentement, qui s'attarde sur ma croupe, sur mon sexe. Et l'excitation qui me submerge à nouveau. J'ai envie de ses mains, de ses doigts, de sa langue, de son sexe, je voudrai le supplier de me prendre, mais je sais que ce n'est pas encore le moment. Je dois avoir les fesses rouge vif, ça me chauffe terriblement. Et de nouveau une série de coups de cravache sur mon postérieur. Je ne peux contenir des gémissements de douleur à chaque fois que la cravache me touche, mes fesses me brûlent, mais je tiens à aller au bout, je ne veux pas craquer avant lui, question d'orgueil peut être, après tout si j'ai déconné pendant la soirée, c'est aussi parce qu'il était en retard.

Le temps m'a paru interminable, moi obstinée à ne pas demander l'arrêt de ma punition, lui à aller au bout de mes limites. J'ai relevé la tête à nouveau pour lire l'heure : 15h40. Cela faisait maintenant 25 minutes que la cravache faisait son douloureux travail sur moi. Je passais de l'envie de crier de plaisir à celle de crier de douleur, c'était insupportable mais tellement bon. Et puis la punition a cessé, il m'a dit ne bouge toujours pas. Il est parti dans la salle de bain, est revenue. Et j'ai senti du froid sur mes fesses cramoisies (ça je l'ai découvert plus tard …). Il me passait de la crème sur les fesses. Avec douceur. Il s'est mis à me parler : à me dire qu'il m'aimait et qu'il m'aimerait toute sa vie, qu'il me pardonnait pour ma conduite parce qu'après tout il n'avait qu'à être à l'heure. Ce mec était génial, c'était l'homme de ma vie, j'en étais encore un peu plus sûre. Il a quand même trouvé le moyen de me remercier pour lui avoir donné le prétexte d'acheter une cravache et de s'en servir. J'ai eu envie de l'étrangler à ce moment là.

Le passage de la crème sur mes fesses s'est vite transformé en caresse, ses doigts s'attardant sur mon sexe, sur mon anus. Sa langue a vite remplacé ses mains et nous avons passé une soirée des plus torrides, même si chaque mouvement me rappelait ce que mes fesses venaient de vivre.

Petit filou

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